Le repaire venait d'être envahi par une horde d'hommes en armure.Ils se trouvaient dans la pièce centrale. Dans le tas, il y avait un plus grand homme, son armure était beaucoup plus imposante que les autres qui se ressemblaient tous, c'était le Chef de cette petite troupes d'hommes.
Le Chef s'écria: EN FORMATION !
Les hommes se mirent tous en rang, puis, toujours en criant, leur Chef leur donna les instructions.
-Chef : LES RENFORTS NE VONT PAS TARDER A ARRIVER, VOUS, VOUS PARTEZ EN ECLAIREURS FAIRE LE REPERAGE DES LIEUX, NOUS, NOUS SECURISONS LA ZONE EN EMPECHANT QUICONQUE DE SORTIR OU DE RENTRER. NOUS COMMENCERONT LES RECHERCHES EN PROFONDEUR QUAND LES RENFORTS SERONT ARRIVES.
NOUS TROUVERONT CES AMULETTES!!!!!!!!
-Hommes:CHEF OUI CHEF !!!!!!!!!!!
Une dizaines de personnes quitta le grand groupe et partirent droit devant.
*A peine quelques secondes plus tard 2 des hommes envoyé accoururent dans la pièce centrale, un prisonnié mennoté et cagoulé à leur coté*
-Homme: Chef, Chef nous avons surpris cet homme, il était en train de dormir au plein milieu d'un couloir. (Nous l'avons capturé trop facilement c'étais même pas drôle ^^)Qu'en faisons nous ?
-Chef: Et bien, tuer le, quelle question idiote.
Le prisonnier se débattit, et sa cagoule tomba au sol, laissant découvrir son visage.
-Chef: Hum attendez, retirez lui ce truc de la bouche, laissez le parler.
*Enlève le morceau de tissus qui l'empêche de parler*
-Galastop: Argh, peuh, lâchez-moi je vous dit, mais lâchez-moi à la fin !!!!!!!
-Chef: Tien, ces cheveux verts, tu ne serais pas Galastop ? Un des plus haut gradé de la guilde The Heart Of éléments ?
-Galastop: Héhéhé, si c'est bien moi.
-Chef: Dit moi où sont les amulettes et je te libère !
-Galastop: Je ne vois pas de quoi vous parlez
-Chef:Argh, ARRETE DE TE FOUTRE DE MOI ! Trés bien, tu l'as cherché, nous finiront par les trouvés de toute façon, ne le tuer pas, nous en tirerons un bon prix sur le marché des esclaves Hahahahahaha
-Galastop:Hey, non lâchez-moi, JE VEUX PAS ETRE UN FOUTU ESCLAVE!!!!!!!!!!!
Il se débattait comme il pouvait, mais les mains menottées dans le dos, ils n'arrivait pas à attraper ses sabres.
Oula, je suis mal barré là -_- Heureusement que j'ai caché mon amulette dans ma chambre privée, sa me laisse du temps pour tenter quelque choseIls le ligotèrent et le bâillonnèrent, avant de le laisser sur le sol, tout près des troupes de soldats dans la pièce centrale.